Portrait d’Alexis, développeur chez XEFI

Qu’avez-vous trouvé chez XEFI que vous n’auriez pu prévoir ?

« Un environnement transparent et stimulant qui a su me faire sortir de ma coquille. Je pensais qu’il fallait porter un masque en entreprise, et j’ai compris ici qu’il ne fallait pas hésiter à être soi-même. J’adore l’énergie du plateau des commerciaux.
J’y ai découvert des personnalités hautes en couleur ; c’est vraiment quelque chose ! »

PHP, HTML, CSS, et JS, comme si ces langages mystérieux ne suffisaient pas, Alexis Lopez s’est initié à d’autres acronymes. Au sein de la branche de développement informatique Dailyapps Auto,les « VO » et autres « VN » étendent encore le champ des possibles – « véhicules d’occasion, et véhicules neufs ! C’est simple, mais indispensable pour échanger avec les clients. »

Le Lead développeur et son équipe sont au service des concessions automobiles sans en faire aucune sur la qualité de leurs logiciels de gestion, qui vont de la paie des vendeurs au suivi des commandes. L’esprit de synthèse est de mise, lorsque la galaxie des grands comptes Stellantis les envoie dans des nébuleuses de données à traiter : « Une fois, ces clients nous ont transmis un Excel de plusieurs millions de lignes, avec toutes les ventes réalisées en Europe… Il a fallu trier ! » Un sens de la clarté que ce référent applique aussi dans le respect des bonnes pratiques – vitesse d’exécution, fluidité, portabilité, lisibilité, Alexis est loin d’avoir une dent contre l’indentation.

Mettant parfois les mains dans des « codes ancestraux », le développeur ouvre aussi des parenthèses au support technique. De quoi prouver qu’en matière d’informatique, rien n’allait de soi, que l’étonnement était peut-être la première loi :

Alexis n’a pas attendu les études supérieures pour engranger des points d’expérience ; son parcours démarre avec l’ordinateur parental qui tournait sous XP. C’était l’époque de la Playstation 2, de son père qui programmait en VBA pour automatiser des tâches de bureautique.

Très vite, certaines évidences se dessinent – le lycéen code son premier jeu en Python, une variante de Snake où l’on dirige une… chenille. Un an en DUT informatique, puis Alexis quitte son mâconnais natal pour la région lyonnaise ; en 2020, il intègre XEFI afin de parachever sa licence en alternance, et la complète avec un complet de rigueur : « J’aime ce côté classe qu’on a tous ici, ce dress code me convient parfaitement. J’ai tenu à y ajouter ma chevalière familiale ! » Conscient d’avoir rejoint une « belle boîte, parfaite pour monter en puissance », le jeune homme bûche et se fait remarquer à plus d’un titre. Si ses petites bévues du démarrage le poursuivent encore – « fais gaffe à ne pas supprimer à nouveau la base de données ! » –, s’il continue à coder en enfilant son casque qui envoie des beats électro, Alexis se Alexis se coiffe aussi de la casquette du chef de projet.

Certains clients m’ont déjà demandé ce qu’étaient un clavier et une souris, sur le moment, je n’y ai pas cru. J’étais parti pour un cours complet ! Entre deux sessions tableau blanc, pour schématiser des logiques algorithmiques et former à son tour les alternants, il mène les réunions de cadrage, établit les cahiers des charges et des spécifications, prévoit des démonstrations :

Les retours clients sont hyper valorisants. On sent que notre travail sert, d’autant que notre équipe participe à générer du chiffre d’affaires !