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Amandine Béraud

Amandine-Béraud-XEFI

Si j’en suis là, c’est que…
J’ai tout donné, et que je n’ai jamais voulu abandonner. En fait, ici, on est vraiment à l’initiative de sa réussite. C’est moi qui ai demandé à sortir sur le terrain pour prospecter ; c’est aussi moi qui ai choisi le moment pour partir seule en rendez-vous client. Même si cela réclame effectivement de s’accrocher, chez XEFI, on peut vraiment y arriver.

Qu’avez-vous trouvé chez XEFI et que vous n’auriez pu prévoir ?
Je me suis découverte. Comme je m’éclate dans ce travail, j’ai acquis une confiance que je n’avais pas forcément auparavant. Cela me permet de me sentir bien où je suis, et même si rien ne m’y prédestinait, je me sens à ma place !

Parce qu’une trajectoire gagne en relief lorsqu’elle est tracée à main levée plus que dans des desseins savamment pesés, Amandine a laissé la science XEFI l’infuser, les performances et les défis fuser : « J’ai commencé par un stage, et une alternance de deux ans en tant que commerciale, avant d’accepter naturellement un CDI. Ce n’est pas du tout la profession que j’envisageais d’exercer au départ, mais quand ton PDG te dit que tu es faite pour cela et que tu vas réussir, il faut y aller ! »
Celle qui maquetta son avenir dans le marketing se jeta donc dans le bouillon de la vente, là où les argumentaires se doivent de précéder les signatures d’affaires sans attente.

À force de pratique, Amandine abandonna ses clichés sur le métier, et saisit qu’il était vain de décrocher des contrats sous la contrainte ; qu’il n’était nul besoin de montrer une mâchoire de requin pour asseoir un impératif de gains : « J’avais une tonne d’a priori sur le travail de commerciale, et je me suis rendu compte qu’on n’était pas du tout là pour refourguer du matériel coûte que coûte. Le matin, je peux m’immerger dans l’activité d’un artisan, puis me retrouver l’après-midi dans une structure de cent-cinquante salariés. Tout se joue dans le contact et le service client, c’est top ! »

Il fallut pourtant que la vendeuse en herbe épouse le jargon de l’informatique, épuise des soirées à réviser des acronymes cryptiques – « VPN, NAS, VM, je ne savais même pas ce qu’ils signifiaient ! » – pour être à la hauteur des objectifs de son entreprise. Les visées chiffrées et autres « alors, c’est coché ? » soutiennent peut-être la pression, Amandine est reconnaissante de n’avoir jamais connu de carence en considération chez XEFI, ni même le diptyque café-photocopie : « Ici, je me suis toujours sentie comme une collaboratrice à part entière. En un an et demi, j’avais déjà acquis des responsabilités que mes anciens camarades d’école de commerce ne pouvaient espérer avant trois ou quatre ans. »

Entre les mantras de Nadia, sa mentor – « tu n’es pas une assistante, tu es une vraie commerciale » –, et les vannes armées de gentillesse de ses collègues sur une marge rognée par l’oubli de l’éco-part, Amandine engrange la confiance nécessaire pour se replacer chaque fois sur la ligne de départ : « Même si on ne me vole pas le plaisir d’avoir atteint mon CA du mois, je sais que le lendemain, le compteur se remet à zéro. Ça fait longtemps que je n’ai plus de zone de confort ! Mais plutôt que de dire simplement “bravo”, on va te permettre d’évoluer en te confiant les six plus gros clients de la dernière société rachetée. Après, on adhère ou pas à cette mentalité. Moi, j’y ai adhéré instantanément. »

Amandine a beau se frotter à quelques sensations fortes dans les traverses américaines ou lors d’une virée en freestyle dans la cohue vietnamienne, le retour chez XEFI tient chaque fois ses promesses en l’engageant dans une course qui s’égrène de pic de suée en montée d’allégresse : « Ce job, c’est l’ascenseur émotionnel ! Je peux avoir la sensation d’être plus bas que terre, ou bien être comme une dingue en réalisant mon objectif ! Le remerciement d’un technicien, d’un collègue, ou un petit mot de la part d’un client suffit aussi à retrouver la motivation. »
Une nouvelle fois, la professionnelle persévère, enfile son perfecto à la Sandy Olson, effile ses stratégies commerciales à la perfection, et s’en va prospecter de nouvelles perspectives : « Quand on voit que certains talents sont partis d’en bas et sont à présent directeurs d’agences, ou que le premier alternant de XEFI n’est autre que le DG adjoint, ça donne forcément envie de suivre la même voie. »

D’ici là, Amandine attaque chaque épreuve « piano, piano » consciente qu’il lui faut encore faire ses preuves, certaine que ce n’est qu’en évoluant dans la cour des grands que l’on concourt à monter d’un cran.

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Crédits Photos TRAFALGAR Maison de portraits et Camille Brasselet