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Anne-Sophie GINDRE

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Si j’en suis là, c’est que… 
​J’ai adhéré aux décisions, au modèle, à l’entreprise et au poste. Aussi, parce que j’ai dû me faire confiance pour l’assurer dès mon arrivée !

Qu’avez-vous trouvé chez XEFI et que vous n’auriez pu prévoir ? 
Cette proximité, cette facilité avec laquelle on peut interagir. Quand on émet un besoin, il y a de l’écoute mais surtout de l’action derrière. On se sent entendu, on n’est pas dans la stratégie qui consiste à attendre que l’orage passe !

Pour cette responsable du service contrats qui ne supporte pas « l’à peu près », la rectitude XEFI est de celles qui s’embrassent sans apprêts.
Anne-Sophie évoque d’ailleurs son premier employeur sous les contours d’une « ancienne vie » que l’on observerait à travers la lentille lointaine et déformée de l’étrangeté, tant le quitter fut comme se découvrir une vocation providentielle : « Cela faisait quinze ans que j’y travaillais, mais les rachats avaient dilué l’ambiance familiale des débuts. J’avais la sensation de ne plus exister, de ne plus compter. Il a fallu qu’un coup de fil m’amène à un entretien chez XEFI pour retrouver l’envie d’aller au bureau le lundi matin. »
​Libérée de ces chefs parachutés dans un jeu de chamboule-tout, la logisticienne adepte des décisions coupant à travers les palabres trouva donc la sérénité dans le côté carré d’une entreprise connue pour ne pas tourner en rond.

Pour apprivoiser ces flux tendus qui tracent le « périmètre mouvant » de son poste actuel, puis se mettre sur les rails de sa logique déroutante, Anne-Sophie dut revenir au fondamental d’une ambition qui passe avant tout par le mental. Quand d’autres s’aiguisent des dents si longues qu’elles en rayent le parquet, le mordant XEFI s’applique plutôt à ne pas desserrer les mâchoires, lorsque la difficulté s’empile si haut que l’on a peur de choir : « Au départ, on doute, on a le sentiment de ne rien comprendre. Alors on pose le cerveau en rentrant chez soi, on le remet à sa place le lendemain, et puis il arrive un moment où ça s’emboîte ! »
De quoi éviter de déboîter le fémur de son « squelette de facture », assurer des contrats sans rature autant que des abonnements sans fracture, et naviguer dans des océans de courriels sans que sa boîte mail ne sature. Quoiqu’elle se fasse au clavier et non sur un grill, la saisie n’aura pas volé son caractère volatil, Anne-Sophie cueillant à point nommé les documents fraîchement ratifiés : « c’est le coeur de la fonction de responsable contrats, et c’est ce qui me plaît le plus parce que ça s’apparente à une course. C’est signé ; c’est mis au propre ; ça part en production ! »

Pour assurer ce trajet, la responsable n’est pas sans alliés : outre des acronymes qui se font synonymes d’une gestion simplissime – « F.A.C.T.S.C., c’est notre moyen mnémotechnique ; et pour les franchises, F.A.C.S., c’est encore plus facile ! » –, Anne-Sophie peut s’appuyer sur le service qu’elle a monté de toutes pièces dès son arrivée.
Les membres de son équipe ne sont certes pas de trop pour gérer des commandes qui se comptent par milliers, et suivre un groupe dont les dimensions requièrent parfois de s’improviser Champollion, cet égyptologue qui sait tout déchiffrer : « C’est stupéfiant de se dire qu’on était à huit franchises quand je suis entrée, il y a trois ans, et qu’on en totalise plus de cinquante aujourd’hui. À chaque rachat, il faut retraduire leur système au sein du nôtre sans perdre l’information. Ça peut être acté au premier mars alors qu’on n’en parlait pas début février ; ici, ça va vite, très vite, mais c’est ça qui m’éclate ! »

Preuve de cet objectif d’ascension graduelle que XEFI véhicule, les évolutions s’accumulent et les frontières se bousculent. Après avoir bondi des conseils donnés sur Microsoft Office à ceux liés à la connectique, les missions d’Anne-Sophie approchent petit à petit du pallier qui amène à déléguer.
Regard braqué sur la bascule vers un logiciel promettant de diviser les opérations par deux, la logisticienne sait le soutien qu’elle recevra d’une direction
« qui n’est pas dans sa tour d’ivoire », et se retrousse toujours les manches pour lui permettre de mieux voir : « Chez XEFI, aucune tâche n’est indigne, et surtout, on n’est jamais livré à nous-mêmes. On peut débarquer dans le bureau d’un directeur avec une question sur un article à cent euros, alors qu’il est en train de traiter un dossier de banque pour des sommes astronomiques. » Ne lui reste alors qu’à régler le dossier de son siège dans ce train à l’allure soutenue, elle qui navigue entre les compartiments avec un enthousiasme résolu.

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Crédits Photos TRAFALGAR Maison de portraits et Camille Brasselet

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