XEFI Carrières - Services informatiques, bureautiques, logiciel et Cloud

Mathieu DOHM

XEFI-Mathieu-Dohm

Si j’en suis là, c’est que… 
Ça me plaît ! J’ai la même vision du métier que XEFI, et si un jour le capital venait à s’ouvrir, j’irais voir le banquier pour poser toutes mes économies chez nous, sans y réfléchir à deux fois.

Qu’avez-vous trouvé chez XEFI et que vous n’auriez pu prévoir ? 
En arrivant, j’ai été frappé par la place que tiennent les relations et la considération envers les gens.
Ici, on n’est pas dans le cliché de façade du « on est une famille » : l’attention des collègues comme de la hiérarchie n’est pas forcée et peut passer par des choses toutes bêtes, comme recevoir des fleurs pour la naissance de son enfant.
XEFI a aussi cassé l’image que je me faisais de la boîte d’informatique, et que j’avais en tête depuis mon stage de troisième : tout le monde avachi derrière un ordi, en train de cloper. Finalement, l’info est secondaire chez nous. Ce qui est prégnant, c’est vraiment le sens du service.

XEFI Mathieu Dohm

Comme l’informatique a le chic pour frapper la connaissance d’obsolescence, Mathieu ne saurait tourner en rond sur son socle de références, et a fait de la ferveur le levier de son efficience :

« Le secteur évolue tellement vite qu’on ne s’ennuie jamais. C’est seulement quand la passion disparaît qu’on décroche. Moi, je ne travaille pas, je m’amuse ! » Il eut beau être à la page dès son plus jeune âge, manier ordis et logiciels sous l’œil avisé de son paternel – « maintenant, c’est moi qui l’aide » –,
le directeur technique adjoint du groupe XEFI n’est pas parvenu par le passé à intégrer de formation spécialisée.

Les refus ne manquèrent pas d’arracher à Mathieu des soupirs en meute, lui qui eut l’infortune de délaisser Shakespeare pour Goethe : « Mes parents m’ont poussé à prendre allemand, sauf qu’à l’époque, on ne rentrait pas en info si on n’avait pas fait anglais. »

Six ans durant, il s’aiguisa à la valeur travail au volant de machines élévatrices ; sa première carrière de cariste ne freina pas XEFI pour lui proposer une voie qui lui sera plus révélatrice :
« Le recrutement s’est fait en trois minutes. Après avoir parlé de foot, du permis de conduire, et de mes compétences, on m’a donné une chance alors que je n’avais aucune expérience. Bon… ma première semaine, je l’ai passée à la déchetterie, à débarrasser l’atelier technique. Ils n’avaient jamais vu les lieux aussi clean ! »

Du Gard à la Loire, de Chambéry à Valence, celui qui ne « lâche jamais l’affaire » s’assure que les équipes de XEFI suivent la bonne trajectoire tout en favorisant l’expression des élans et des compétences : « Je cherche à unifier les procédés, à faire en sorte que toutes nos entités se parlent en cas de problème.»

Ce franc du collier, maniant autant les paroles qui réchauffent que les remarques qui échaudent, s’évertua à étancher sa soif de problèmes en remplissant sa gourde d’épineuses missions à régler sans bourdes.

Qu’il file un coup de main dans une autre agence pour parer au calme d’un après-midi, ou se porte volontaire pour des « installs » dans le grand lointain, qu’il assume des levées à quatre heures du matin ou de longues veillées tardives, Mathieu s’engage à rester quoi qu’il arrive au service des serveurs, des connectiques ou de ses connexions.

Un sens développé de la responsabilité et dix ans de ce régime l’ont d’ailleurs propulsé vers de plus hautes fonctions – « Je suis vraiment parti d’en bas. Quand on m’a proposé le poste de directeur adjoint, c’était une évolution que je ne pouvais pas refuser, et qui me permet de m’adresser à tous les collaborateurs. Aujourd’hui, je vais partout où XEFI se trouve. »

« J’aime me dire que c’est un peu grâce à moi si tout le monde s’entraide dans le groupe. Mon but, c’est de ne laisser personne en galère. »
C’est ainsi que le cinéphile déroule des semaines au scénario ficelé qui se laisseraient aisément titrer « un jour, une agence », et déploie une pédagogie dont les tenants sont aussi bien charpentés qu’un film de John Carpenter – « Je me déplace également pour faire la tournée des repas de Noël ! J’y vais toujours avec plaisir si une agence m’y convie. » Mais dès le retour, rivé à ces écrans rutilants qu’il sait être une entorse à son entreprise – « je suis full Apple ! » –, collé en permanence à son téléphone dernier cri, Mathieu n’en finit plus de braquer son attention sur les bijoux de technologie.

Ainsi se rue-t-il dare-dare sur les engins propres à magnifier le septième art, et fait-il grand cas des appareils sachant coller aux trousses de son entrain : 4K, 75 pouces et 5.1. Au fond, s’il comble les espérances en gardant quelques pas d’avance, c’est parce que Mathieu sait que son action ne s’éclairera jamais mieux qu’à la lumière des projections.

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Crédits Photos TRAFALGAR Maison de portraits et Camille Brasselet