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Mickael CUZIN

Portrait_Mickael CUZIN

Si j’en suis là, c’est que…

J’ai su saisir ma chance. Cela réclamait que je m’en donne la peine, et que je sois prêt à travailler beaucoup. Ce n’est qu’à force de travail que j’ai pu gagner confiance en moi, et par la suite gagner la confiance des autres.

Qu’avez-vous trouvé chez XEFI et que vous n’auriez pu prévoir ?

Je n’aurais jamais pu prévoir un tel attachement aux collaborateurs, mais aussi à l’entité. Mon sentiment d’appartenance est aujourd’hui très fort. Et puis, je ne pensais pas me retrouver face à un tel développement : je suis toujours étonné de voir que XEFI fédère autant de monde !

Portrait_Mickael CUZIN

Que ses objectifs se portent sur la signature d’un contrat ou sur une rencontre en un contre un, dans le sport comme dans le travail, il n’y a pour Mickael que la victoire qui vaille : « Au foot, comme au tennis, je ne joue que pour faire des matchs ou des tournois. Je ne veux pas juste avoir accès au terrain ou au court pour un échauffement ; je veux savoir qui perd, qui gagne. Quand on doit faire un chiffre, qu’on a une visée, c’est plus simple de voir la performance. »
Déjà spécialisé dans l’événementiel sportif, c’est en novice de l’informatique que Mickael débarqua sur ce turf à l’époque des AOL et autres Liberty Surf, qu’il dut prendre le pas et gravir un mont de connaissances que chacun appréhendait sur le tas : « Chez XEFI, je me souviens avoir commencé un samedi, sans rien savoir du tout. On m’a embarqué dans le Kangoo pour vendre des PC, en m’expliquant en chemin comment ça fonctionnait ! »

De l’animation d’un réseau de vente à ces années qui ont vu éclore sa nature commerçante, le compétiteur a sillonné une carrière le propulsant du rang de débutant à celui de tuteur : « En plus de la direction de deux agences lyonnaises, j’ai pu accompagner certains franchisés lors de la création du réseau. Accompagnement que je réalise également pour certaines agences en propre du groupe. »

C’est en tant que directeur que Mickael déploie désormais cette bonhommie – « un gars qui fait la tronche, il se retrouve dans mon bureau » –, étend son enthousiasme comme ses talents jusqu’au siège de XEFI, sans se préoccuper de savoir où se trouvait le sien hier, et ce qu’il en est aujourd’hui : « J’aime bien changer d’ambiance ! Quand je dois me rendre au pôle central du groupe, je n’ai pas de poste fixe. Je bosse un jour au service marketing, un autre à l’administratif… C’est important qu’on se connaisse tous, et qu’on ne se contente pas de se croiser dans les couloirs ! » Ces mêmes couloirs qu’il pourrait traverser les yeux fermés, et qui eurent même la bonne idée de le mener jusque dans les bras de sa dulcinée :
« Ici, personne n’est un pion, chacun prend part à l’évolution, chacun a un vrai rôle à jouer. Quand j’ai eu l’occasion de parler devant cinq-cents personnes pour l’avant-première Star Wars… Ce n’est pas quelque chose qu’on aurait pu imaginer il y a dix-huit ans ! L’attachement qu’on a pour cette entreprise est aussi due à cette perspective de la voir évoluer sans cesse. »

C’est en « obsessionnel assumé du service client » que Mickael assure la stratégie et ses bases, ne se fiant en réalité jamais à ce « grosso modo » qui ponctue chacune de ses phrases : « Grosso modo, je suis un travailleur. Et même si je suis l’un des plus anciens, j’étudie toujours autant mes dossiers. On est dans un métier de précision, je ne laisse rien au hasard ou à la seule expérience. J’aime bien considérer que je suis toujours en période d’essai ! »

Fidèle à la cadence de ses journées et à cette rapidité qu’on lui reconnaît, Mickael s’assure de rentabiliser chaque instant, de deviser, de rappeler, de régler les problèmes sans attente ni délai : « Je laisse le mode projet à d’autres. De mon côté, je suis plutôt en mode tout de suite. »
Qu’il se poste au coin de la rue face à un particulier en rade d’ordinateur, ou aux côtés des grands comptes avec lesquels le directeur traite d’ordinaire, Mickael répond à chaque sollicitation par l’affirmative, tout en prêtant intérêt à la prospective. Et si son engagement agite parfois quelques nuitées, son expertise et ses manières affables ne pourraient être considérées comme des ressources corvéables. En fait, Mickael est un infatigable qui ne sait faire autrement qu’en se donnant corps et âme.

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Crédits Photos TRAFALGAR Maison de portraits et Camille Brasselet